La trahison
2023 - 2024
2023 - 2024
Pour dresser le portrait sonore d’un territoire, il faut en collecter les souvenirs, en rencontrer ses musicien.n.e.s, habitant.e.s, en capturer ses ambiances. À l’écoute des récits, des répertoires et des sons de l’Aubrac, Jean-Emmanuel Rosnet et Sébastien Robert ont mené ce travail d’investigation en mai 2023 pour donner le jour à une création à mi-chemin entre les musiques improvisées et le documentaire radiophonique.
Dans cette réinterprétation contemporaine du patrimoine aubracois, les deux artistes s’emparent de récits qu’ils ont collectés pour créer une trame narrative alimentée par des sons d’archive des années 60, date de la collecte menée par le CNRS visant à étudier la vie, les coutumes et les traditions des éleveurs de cette région du Massif Central. Dans la continuité des projets développés par les deux artistes liés au patrimoine oral et culturel de certaines régions ou groupes de personnes, La trahison soulève la question de la transmission. Comment aborder artistiquement la possible disparition d’un métier, d’une pratique artistique, d’un savoir-faire, d’un répertoire.
En manipulant les matières brutes, l’intention des deux artistes est de dépasser la simple documentation et de s’orienter vers des formes plus contemporaines qui rendent hommage à ce patrimoin immatériel. La réinterprétation expérimentale qu’ils proposent, à l’instar des répertoire traditionnels en mouvement constant, tente d’ouvrir de nouvelles perspectives artistiques à tout un panel de sonorités, mélodies et chants aubracois.
Dans cette réinterprétation contemporaine du patrimoine aubracois, les deux artistes s’emparent de récits qu’ils ont collectés pour créer une trame narrative alimentée par des sons d’archive des années 60, date de la collecte menée par le CNRS visant à étudier la vie, les coutumes et les traditions des éleveurs de cette région du Massif Central. Dans la continuité des projets développés par les deux artistes liés au patrimoine oral et culturel de certaines régions ou groupes de personnes, La trahison soulève la question de la transmission. Comment aborder artistiquement la possible disparition d’un métier, d’une pratique artistique, d’un savoir-faire, d’un répertoire.
En manipulant les matières brutes, l’intention des deux artistes est de dépasser la simple documentation et de s’orienter vers des formes plus contemporaines qui rendent hommage à ce patrimoin immatériel. La réinterprétation expérimentale qu’ils proposent, à l’instar des répertoire traditionnels en mouvement constant, tente d’ouvrir de nouvelles perspectives artistiques à tout un panel de sonorités, mélodies et chants aubracois.
La trahison a bénéficié du Fonds de relance pour la création de la DRAC Auvergne Rhône-Alpes, du Fonds de soutien à la création artistique numérique - Fonds [SCAN] Auvergne-Rhône-Alpes ainsi que du soutien du département de la Lozère.
Avec le soutien du GMEM — Centre national de création musicale de Marseille et Setereolux. En partenariat avec le C.M.T.R.A - Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes, l’A.M.T.A - Agence des Musiques des Territoires d’Auvergne, le Mucem - Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée et l’Iméra - Institut d’études avancées
(IEA) d’Aix-Marseille Université.
Avec le soutien du GMEM — Centre national de création musicale de Marseille et Setereolux. En partenariat avec le C.M.T.R.A - Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes, l’A.M.T.A - Agence des Musiques des Territoires d’Auvergne, le Mucem - Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée et l’Iméra - Institut d’études avancées
(IEA) d’Aix-Marseille Université.